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Tchuzz

vendredi 20 avril 2007

Japan: end of the story

Le temps passe vite… et les trois olibrius sont déjà rentrés depuis une semaine.

Il est donc temps d’un peu clarifier tout ça :

 

Ce qui s’est passé dans le bar est bien vrai : un des trois voulait faire une stupide blague et faire un petit sproutch avec l’extincteur, et tout est sorti, sans s’arrêter. À ce moment, le patron du bar est arrivé avec ses copains blacks vers les trois, les a amené dans un coin, fermé la porte derrière eux et… la police est arrivée.

Ils étaient donc plutôt content de les voir !

 

La suite, vous la connaissez : direction le commissariat, où je les « rejoins » quelques temps plus tard. Celui qui a pris l’extincteur explique clairement aux policiers qu’il a agit seul et que les deux autres n’ont rien à voir, qu’ils peuvent repartir. Seulement, au Japon rien n’est simple et le flic voit dans la déclaration du patron qu’ils étaient trois et il voit trois personne devant lui. Ce qui clôt toute discussion et ils se retrouvent tous les trois en prison.

 

Ou plutôt un centre de détention provisoire. Mais (au Japon rien n’est simple) ils estiment que les trois ne peuvent pas se parler. Toute la prison est organisée en deux groupes donc, pas de problème on les met dans deux groupes séparés pour qu’ils ne se voient pas. Oui mais ils sont trois ! Que faire dans ce cas ? on envoie un des trois dans une vraie prison ! (avec les portes qui font bzzz et tout) Voila donc le troisième (évidement pas le « coupable ») envoyé à l’autre bout de Tokyo. Ça fout les boules… Finalement, contrairement à ce qu’on peut penser ses conditions de détention étaient nettement meilleures que les deux autres. Donc tout va bien (tout est relatif…).

 

Lorsqu’ils vont voir le procureur (menottes au poings), celui-ci leur annonce qu’ils vont devoir rester dix jours de plus « for further investigation »…

 

Finalement, le proprio accepte de retirer sa plainte s’ils paient les dégâts et dix jours plus tard (au Japon…) ils peuvent ressortir et revenir ici à Taiwan. Ils n’ont pas de casier judiciaire, ni au Japon ni en Hollande.

 

Donc finalement tout est rentré dans l’ordre et on est reparti dans notre vie taïwanaise !

 

À la prochaine !

1 commentaire:

Unknown a dit…

ils sont quand meme bcp trop con davoir fait ca... mais c une cool histoire a raconter a tes enfants...